FREDERICTON (CNB) – Le Nouveau-Brunswick profitera de sa participation au XIIIe Sommet de la Francophonie à Montreux, en Suisse, du 22 au 24 octobre, pour promouvoir son expertise en technologies de l'information au Village de la Francophonie.

« Le Nouveau-Brunswick est reconnu dans la Francophonie pour ses avancées en matière de technologies de l'information et des communications à des fins d'apprentissage », a affirmé le premier ministre, David Alward. « Le Sommet nous permettra de promouvoir l'utilisation des technologies comme outils d'apprentissage et nous permettra de continuer de promouvoir l'importance d'une action concertée en faveur des jeunes auprès des États et gouvernements membres de la Francophonie. »

Le premier ministre Alward, et le vice-premier ministre et ministre du Développement économique, Paul Robichaud, qui est également ministre responsable de la Francophonie, seront accompagnés de représentants de la communauté et de représentants des secteurs de la culture, de l'éducation, du tourisme et du postsecondaire.

Un projet de classe numérique internationale sera en démonstration au pavillon du Nouveau-Brunswick. Des élèves et des enseignants animeront une classe numérique équipée d'ordinateurs en réseau permettant aux élèves de communiquer et d'apprendre en se servant des technologies.

Des artistes néo-brunswickois, y compris La Virée, Monique Poirier, Nathalie Renault, Isabelle Pelletier de même que le vidéaste Patrick Lacelle, la cinéaste et comédienne Monique LeBlanc, la troupe Les échassiers et l'historien Maurice Basque offriront des prestations au Village de la Francophonie. Le concept de Village de la Francophonie est une initiative néo-brunswickoise initiée en 1999 à Moncton et il a depuis été repris à tous les Sommets.

Le Nouveau-Brunswick participe activement aux instances de la Francophonie depuis plus de 30 ans et s'est fait le champion de la promotion du développement de la jeunesse.

« Depuis le sommet de Moncton, nous constatons avec grande satisfaction que les questions relatives à la jeunesse ont pris de l'importance dans les délibérations de la Francophonie, et nous osons croire que les efforts du Nouveau-Brunswick y ont été pour quelque chose », a indiqué le premier ministre Alward.

La Francophonie rassemble 70 États et gouvernements ayant le français en partage.  Il s'agit, pour le Nouveau-Brunswick, de l'unique institution internationale lui permettant de siéger en tant que gouvernement participant.